Fessée pendant qu’il me baisait

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il y a 6 ans

Fessée pendant qu’il me baisait

J’ai trompé mon mari pour la 1ère fois avec Paul, un homme rencontré sur le net. Je vous avoue que ce soir-là quand je suis rentrée chez moi, je n’en menais pas large. Heureusement mon mari ne rentrait que le lendemain et c’était tant mieux. Ça me laissait un peu de temps pour me préparer psychologiquement à affronter son regard sans ciller. Histoire de me faire pardonner mentalement, j’avais eu l’idée de lui préparer un bon petit repas pour son retour mais après réflexion je me suis dit que cela allait lui paraître suspect. Surtout que quand il est en déplacements, il mange tous les jours au resto et quand il rentre, il veut juste manger un bout sur le pouce avant de se coller devant la télé.

Donc je décide de ne rien changer à mes habitudes et je l’accueille normalement le lendemain. Il me raconte son boulot, ses 2 jours de déplacement et je l’écoute d’une oreille distraite tout en réalisant que je n’ai vraiment aucun mal à faire comme si de rien n’était. Parce-que, mine de rien, depuis la veille, je me repasse en continu l’après-midi avec Paul. Je ne me serais jamais cru capable de ça mais ça me donne encore des frissons dans tout le corps. Je dois sourire sans m’en rendre compte car mon mari me le reproche soudain :

« - Ça te fait sourire ce que je te dis ? Y a rien de marrant pourtant !

  • Non, non, je ne souris pas ! Enfin je suis contente que tu sois rentré. Je t’écoute. Tu disais ? »

Il a repris son monologue que je ponctuais de quelque « oui « ou « ah bon » et je me suis dit qu’il fallait que je fasse attention à ne pas paraître trop distraite car il risquait de se poser des questions.

La fin de semaine m’a semblé très longue. Mon mari, par sa présence le soir, m’empêchait d’aller papoter avec Paul sur le net et ça me manquait terriblement. Le lundi soir, n’y tenant plus et profitant que mon mari s’était couché plus tôt, j’ai saisi l’occasion de me connecter. J’y ai retrouvé Paul qui se demandait d’ailleurs s’il ne m’avait pas fait fuir vu que je ne me connectais plus et on a repris nos conversations taquines. J’étais excitée comme une jeune écolière et, taquin, il me donne rendez-vous chez lui le lendemain après-midi pour 16h. Il me demande de venir en jupe ou robe courte mais sage. Et je lui réponds « ok » ne comprenant pas trop pourquoi il me donnait cette précision mais je n’ai pas osé lui poser la question. Il allait se débrouiller pour quitter le boulot plus tôt…

Mon mari ne rentrant que vers 20h, cela nous laissait 3 bonnes heures pour se voir. Puis je n’ai pas tardé à me déconnecter craignant que mon mari ne se lève et je suis partie me coucher. J’étais tellement excitée que j’ai très peu dormi. Il me tardait d’être au lendemain.

Le jour J, je prends un bon bain, me parfume et mets 3 plombes à choisir ma tenue pour finalement opter pour une petite robe en soie noire plissée.

A l’heure dite je sonne chez Paul, à la fois frémissante et pleine d’appréhension. Il m’accueille avec un large sourire.

Il m’invite à m’assoir et m’offre une coupe de champagne que j’avale presque d’un trait tellement je suis nerveuse. L’ambiance est tamisée, il a fermé les rideaux et le séjour est juste éclairé par deux lampes à la lumière veloutée. Le champagne fait effet et je me détends un peu plus. Comme nous aimons beaucoup la littérature tous les deux (mais ça je crois que je vous l’ai déjà dit dans mon histoire précédente) il me présente un livre : « Justine ou les malheurs de la vertu » du Marquis de Sade. Un grand classique en la matière. Je rougis.

« - Oui je l’ai lu étant a d o l e s c e n t e même si je ne m’en souviens plus très bien »

  • Et bien nous allons commencer par le début. Regarde j’ai corné une page. Et j’aimerais que tu lises à voix haute.»

En commençant à lire je me rends compte que c’est je crois, la première scène où Justine, alias Thérèse, pour ne pas perdre sa virginité face à quatre voyous en rut, est obligée de se mettre nue face eux et d’adopter des positions dépravantes et humiliantes tandis que la Dubois, prostituée, satisfait les pulsions B e s t i a l es de ses 4 hommes à tour de rôle devant une Thérèse vertueuse horrifiée et meurtrie par les coups qui lui sont assénés.

Je lis d’une voix un peu tremblante, sentant le rouge me montait aux joues au fil des phrases que mon imagination vit pour de vrai. Je m’arrête un instant, le souffle court.

« - Continue ma belle, ne t’arrête pas quoi qu’il arrive, quoi que je fasse. »

Alors je reprends la lecture. Paul est confortablement assis sur un fauteuil juste en face de moi. Il se lève pour aller chercher quelque chose mais je n’ose lever les yeux et continue de lire.

Il revient s’assoir, une règle en bois à la main. Il glisse la règle sous ma robe, la soulève légèrement et commence à jouer avec la soie. Il remonte ma robe un peu plus sur une cuisse puis sur l’autre. Tout ça très doucement ! Il caresse l’intérieur de mes cuisses avec la règle. Puis il remonte avec entre mes seins et excite mes tétons déjà durs avec le bout de la règle à travers le fin tissu. Je me sens toute moite entre les cuisses. Des frissons me parcourent à chaque fois que cette maudite règle me touche, me frôle. Mais je continue de lire, comme il me l’a demandé.

Il redescend au niveau de mes genoux et avec l’instrument de t o r t u r e me fait écarter les cuisses. Il se relève et je vois du coin de l’œil qu’il se déshabille. Puis il revient s’assoir comme si de rien n'était Je sens son regard qui ne me quitte pas. Il est maintenant nu devant moi et je vois, en jetant un œil par-dessus le livre, que son sexe est enflé et bien raide. Cela me trouble et je m’arrête un instant de lire.

« - Je t’ai dit de continuer de lire, quoi qu’il se passe ! » Me dit-il d’un ton autoritaire.

« -Tu ne m’écoute pas, tu n’es pas une gentille fille, tu dois être punie ! »

Tout en disant ça, je sens un coup de règle s’abattre sur l’intérieur tendre de ma cuisse. C’est comme une brûlure exquise qui m’assaille. Je me rends compte que je mouille terriblement. Je n’ai jamais connu de telles sensations. C’est tellement nouveau pour moi. C’est terrifiant et tellement excitant à la fois.

La règle sournoise s’immisce à nouveau entre mes cuisses et il assène à nouveau un coup à ma chair tendre. Puis plus doucement, l'objet brutal vient écarter ma petite culotte de part en part pour explorer ce qui se cache dessous. Paul examine sa trouvaille de son fauteuil. Je tente de resserrer mes cuisses, honteuse, mais il m'en empêche avec la règle. La peur de recevoir une autre brûlure fulgurante me fait capituler. Mais ça ne lui suffit pas. Il m’intime l’ordre d’enlever le tissu gênant. Il me fait à nouveau écarter les cuisses, satisfait, et commence du bout de la règle à examiner mes grandes lèvres. Il les écarte, va caresser mon clitoris avec ce bout de bois vicieux, revient sur mon vagin ruisselant de mouille.

« - Tu vois comme tu mouilles ? C’est bien ! » Me dit-il doucement.

Et puis, insidieusement je sens la règle me pénétrer. J’ai du mal à continuer à lire mais j’ai peur de la douleur plus forte qu’il pourrait m’infliger à nouveau si je n’obéis pas. Paul a un sourire narquois en face de moi. Il entre petit à petit la règle dans mon antre secret puis la ressort. J’ai peur qu’il aille trop profondément et qu’il me fasse mal. Je suis à la limite de l’évanouissement quand je sens la règle me pénétrer. Mais non, il fait ça avec adresse et fouille ma chatte avec application. Je suis frissonnante de plaisir. Il ressort enfin le cruel instrument et du coin de l’œil, je le vois lécher lentement mon jus sur le bout de bois insidieux.

« - Ta mouille a un goût exquis ! Allez viens t’assoir sur moi, tu as été une gentille fille, je vais te récompenser. »

Il a saisi un préservatif sur le guéridon juste à côté et il l’enfile rapidement. Alors je lâche le bouquin et je m’installe docilement à califourchon sur son sexe gonflé de désir. Je m’empale délicieusement sur ce membre dur comme de la pierre. Je pousse un cri de plaisir à la première pénétration et je commence à onduler sur lui, prête à exploser. Il a toujours la règle dans une main mais il m’empoigne les fesses pour guider mon rythme.

Sans que je m’y attende, la règle s’abat à nouveau sur mes fesses et je pousse un cri de douleur. Un coup, puis deux...puis 3. Mes fesses me brûlent et elles doivent être rouges au s a n g mais le plaisir est plus fort. Cette sensation de douleur est jouissive. J’accélère les va viens et le dernier coup de règle me provoque un orgasme jamais éprouvé jusque-là. Il ôte alors ma robe précipitamment et fourre sa tête entre mes seins. Il s’ébroue entre mes deux globes puis avale, suce mes mamelons, les lèche avec avidité, les agace, les mordille, les mange littéralement. Il halète et accélère la cadence. J’ai du mal à suivre le rythme effréné qu’il m’inflige. Sa bouche va d’un sein à l’autre avec frénésie, il me soulève et me rabat v i o l emment sur sa bite énorme et dans un spasme il éjacule longuement dans la capote avec des grognements de satisfaction. Cette fois on ne s’est même pas embrassé comme si j’étais une de ces putains qui n’embrassent pas leurs clients. Mais j’ai pris un pied phénoménal ! Mélange de peur, de douleur et de plaisir.

Le plus terrible c’est que j’y prends goût et qu’il est un formidable professeur.

Maintenant, il s’agit de penser à faire attention pendant quelques jours, que mon mari ne voit pas les meurtrissures qui m’ont été infligées…

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